Une orthophoniste en coulisses

Sophie Germain Lacroix est une ergothérapeute qui a choisi de se spécialiser en santé mentale et je l’avoue, c’est ce qui a le plus piqué ma curiosité quand je l’ai découverte par hasard sur les réseaux sociaux. Ça et le fait qu’elle demeure dans la même ville que toute ma famille élargie.

J’ai moi-même eu de la difficulté à saisir quel est le rôle de l’ergothérapeute en matière de santé mentale. Ça allait donc de soi que j’invite Sophie pour clarifier le tout. Sophie s’est non seulement spécialisée en santé mentale, mais elle aborde plus particulièrement la notion de flexibilité.

Cela me parle beaucoup parce que je trouve que souvent, en tant que professionnel, on s’autorise très peu « d’écarts » ou plutôt de « sorties de zone ». Moi la première.

Alors si comme moi tu es curieuse d’en apprendre plus sur ce qu’un ergothérapeute en santé mentale fait et plus précisément peut faire pour toi, je t’invite à écouter cet épisode.

Pour voir les différents services et projets de Sophie, tu peux la suivre sur sa page Facebook, son compte Instagram ou encore te rendre directement sur son site web.

Ce n’est plus un secret, je me remets constamment en question par rapport à ma pratique. Je le fais dans le but de m’améliorer, mais surtout d’offrir un meilleur service et de mieux soutenir les gens que j’accompagne. Et éventuellement, d’aider plus d’individus.

J’aime beaucoup m’inspirer de ce que les professionnels autour de moi font et j’aime encore plus quand je peux échanger avec eux et avoir accès à leurs réflexions. C’est ainsi que j’ai invité et reçu Isabelle Fournier neuropsychologue et psychothérapeute sur le podcast.

Isabelle a une pratique différente, c’est le cas de le dire et je trouve super intéressant d’avoir pu échanger avec elle à propos des questionnements et des réflexions qui l’ont menée à délaisser les évaluations. Ce qui n’est pas vraiment ce à quoi on pense quand on parle d’un neuropsychologue.

Un épisode de réflexion et d’échanges qui soulève des points intéressants par rapport au rôle qu’on prend en tant que professionnel.

Pour suivre ce que fait Isabelle, la meilleure façon, c’est via son groupe Facebook.

Bienvenue pour le premier épisode de podcast de l’année 2023. Un peu à la manière de la revue de l’année aujourd'hui, je vous ai un peu prévu un petit potluck de plein d’affaires que je veux vous partager par rapport à ce qui s’en vient pour moi pour 2023 à la suite des réflexions que j’ai eues pour ma pratique. Alors il n’y a pas vraiment de fil conducteur, mais j’espère que vous me suivrez un peu à travers tout ça.

Un épisode 100% authentique où je vous partage mes souhaits pour la nouvelle année, ce que je laisse en 2022 pour ma pratique et mes projets et ce que j’amène avec moi en 2023. Pis ben du bla bla.

Bonne écoute!

Pour la dernière entrevue de la saison automne 2022, j’ai reçu Agathe Tupula Kabola, orthophoniste, que je suis depuis un moment via sa présence sur les médias traditionnels.

Probablement que, si vous pratiquez l’orthophonie au Québec, vous avez écouté l’une de ses chroniques que ce soit à la télévision, à la radio ou à travers différentes initiatives. C’est pour cette raison que je voulais la recevoir.

Agathe est l’une des rares orthophonistes à avoir pris une place vacante dans les médias traditionnels pour représenter l’orthophonie. Cela m’inspire grandement, car moi-même je m’imagine mal occuper cette place sur les médias traditionnels. Et comme je parle souvent de mon désir de faire taire notre sentiment d’imposteur, Agathe représentait pour moi une belle incarnation de tout cela.

Dans cette discussion à la fois authentique et déculpabilisante, Agathe s’est ouverte sur la façon dont elle aborde son rôle d’orthophoniste à travers les médias traditionnelles, mais aussi par rapport à la mission qu’elle s’est donnée pour faire reconnaitre notre profession.

Pour en apprendre plus sur les différents projets d’Agathe et suivre ses chroniques :

Facebook

LinkedIn

Twitter

Moteur de recherche

Des familles comme les autres

On va se le dire

Je suis pas mal dans la thématique de l’horaire atypique sur mes médias sociaux ces temps-ci, mais c’est parce que j’en prends de plus en plus conscience.

J’ai récemment partager une publication sur mon compte Instagram/Facebook à ce sujet d’ailleurs et j’ai eu envie de venir vous en parler plus en détails sur le podcast.

C’est donc à travers un épisode 100% spontané (0% scripté) que je vous partage mon amour pour l’horaire atypique. J’y vois plusieurs avantages que je vous présente :

Réduire la pression et l’anxiété associées au fait de devoir respecter un horaire fixe

Permettre de mieux respecter nos besoins selon notre réalité et notre contexte

Favorise l’efficacité du travail

Ceci dit, comme pour tout ce que j’aborde sur ce podcast (et sur toutes mes plateformes), je ne prône pas à tout prix ce genre d’horaire. Je le dis et le répète, si la formule que vous avez actuellement vous plait, alors ne changez rien. Mais si certains éléments par rapport à votre horaire vous pèsent, alors j’espère que cet épisode vous donnera quelques pistes pour amorcer les changements que vous souhaitez et surtout, vous permettra de vous déculpabiliser de ne pas forcément travailler « en même temps que tout le monde ».

Qui ne rêve pas d’être heureux au travail? Après tout, c’est approximativement pour 10 000 matins dans notre vie qu’on se lèvera pour aller travailler comme l’explique Marylise. Avant de découvrir Marylise, j’étais de celles qui croyaient que si on n’était pas bien au travail, la seule option possible était de changer de secteur, de poste, de milieu, etc.

Pourtant, être heureux au travail peut passer par différents moyens et c’est ce dont j’ai voulu discuter avec Marylise. Avec cet épisode, je voulais offrir à mes collègues qui se sentent parfois impuissantes et qui vivent certaines insatisfactions qui minent leur plaisir dans leur milieu de travail des idées, des ouvertures et matière à réflexion. J’avais envie en fait qu’on se redonne espoir par rapport au fait que c’est possible d’être heureux et épanoui au travail sans forcément changer d’emploi.

J’ai donc reçu Marylise Champagne, conseillère en développement de carrière et en orientation, qui se spécialise sur le sujet et nous avons couvert plusieurs sujets en lien avec le bien-être au travail.

Pour en apprendre plus sur la sphère d’activité de Marilyse, vous pouvez consulter son site ou ses réseaux sociaux :

Site web

Page Facebook

Compte Instagram

L’article dont je vous parle est le résultat d’une validation préliminaire par rapport à une grille d’observation des habiletés d’écriture en début de scolarité qui a été menée par Harmey, D’agostino et Rodgers.

Généralement, quand on évalue l’écriture en début de scolarité, on se concentre sur des mesures spécifiques comme les dictées ou les exercices d’écriture. Cependant, dans un contexte plus général de tâche d’écriture, ces mesures sont plus limitées, car elles isolent et séparent les différentes habiletés essentielles au processus d’écriture et ne considèrent pas tous les éléments à mettre en place quand vient le temps de composer et d’écrire un message.

Si, au contraire, on considérait l’écriture comme une activité se rapprochant de la résolution de problèmes où l’élève doit planifier et générer un message en plus de monitorer l’ensemble du processus, alors il serait logique d’avoir une forme d’évaluation qui permettrait d’observer l’ensemble des habiletés impliquées pendant les enfants s’engagent dans une tâche d’écriture à l’intérieur d’un contexte scolaire, soit avec des instructions et un certain cadre. C’est ce que les auteurs de l’étude dont je vous parle ont voulu développer et valider.

Pour en apprendre plus, pesez sur « play ».

Je suis de ces gens qui sont toujours impressionnés et inspirés par les initiatives que les gens lancent autour d’eux. Et je le suis encore plus quand on me contacte pour me le partager. C’était le cas d’Edith Coulombe qui a pris l’initiative de m’écrire afin de me proposer un sujet sur le podcast en lien avec un projet auquel elle contribuait : le Baladovoix.

Ma curiosité a tout de suite été piquée et j’ai accepté la proposition. J’ai donc reçu Ingrid Verduyckt, Anne-Marie Vachon et Krishna Martineau qui sont venues me parler de ce balado qui sortira à la mi-novembre, mais aussi de toute l’importance de la voix comme outil de travail et de communication et du rôle encore trop souvent caché de l’orthophoniste dans le traitement de cette composante.

En attendant que le premier épisode sorte, voici où aller pour en apprendre plus : https://www.facebook.com/Baladovoix

Récemment, j’ai eu l’occasion d’accompagner des orthophonistes dans la mise en exécution d’idées qu’elles avaient et qu’elles voulaient faire passer au stade de projet. Avoir une idée, c’est une chose. La faire évoluer vers un projet en est une autre… Mais le mettre en action pour le réaliser, c’est un autre niveau.

On me demande souvent comment est-ce que je fais pour réaliser autant de projets. Pourtant, de mon point de vue, je n’en fais pas tant dans le sens où le nombre de projets que je fais me convient. Je n’en ferais pas plus, mais d’un autre côté, j’ai beaucoup trop d’idées pour ce que je peux réellement exécuter. J’ai donc pensé vous partager un peu ce qui se passe derrière les coulisses (petit clin d’oeil ici au nom du podcast) quand je me mets en action pour mener un projet à terme. Ici, j’ai volontairement omis les obstacles que je peux rencontrer dans chacun de mes projets, parce que je voulais simplement me concentrer sur le « passage à l’action ». Mais je vous promets que moi aussi je procrastine et que je doute pendant la réalisation de TOUS mes projets.

J’espère tout le moins que cet épisode vous inspirera à passer à l’action et à réaliser les bonnes idées qui vous passent régulièrement par l’esprit.

Ça faisait un moment que je contemplais l’idée de recevoir Pascale sur le podcast, mais nos horaires ne concordaient pas vraiment. Son sujet de prédilection, l’autodétermination, m’interpelle particulièrement parce que travaillant avec la clientèle adolescente, c’est quelque chose que je rencontre régulièrement dans ma pratique.

Je voulais donc en apprendre plus sur le sujet et je peux dire que ça a été mission accomplie. Pascale m’a permis de mieux comprendre non seulement ce qu’est l’autodétermination, mais également les différentes facettes entourant celles-ci. À la fin de l’épisode, à ma demande, elle a également cité plusieurs ressources que je vous mets ci-dessous.

Regroupement Langage Québec

Rapport TÉVA

ROSEPH (Regroupement des organismes spécialisés de main-d'oeuvre)