Une orthophoniste en coulisses

Cet été, sur mon compte Instagram, j’ai partagé le défi lecture que je m’étais lancé en 2020 et que j’ai tellement aimé relever que j’ai décidé de répéter l’expérience pour 2021.

Plusieurs personnes m’ont dit que ça les avait motivées et qu’elles voulaient embarquer cette année et se fixer un défi à leur tour.

Sauf qu’un défi, ça le dit, c’est pas toujours facile. Quelques personnes m’ont donc contactée pour savoir comment je faisais pour relever le défi. En fait, il y a une question qui est revenue à quelques reprises à savoir : quels sont les moyens que j’ai pris pour relever mon défi lecture.

Dans cet épisode, je te présente donc les trucs qui m'ont permis de réaliser mon défi et ceux qui n'ont pas fonctionné.

Dans cet épisode, on aborde un autre aspect de la pratique professionnelle : le sentiment d'imposteur. Et on peut vraiment dire que ça se passe en coulisses, car souvent, on a l'impression d'être seul aux prises avec ce sentiment le plus souvent envahissant, lourd et paralysant.

J'ai voulu en parler davantage pour normaliser le tout et Marie-Pierre Caouette était la mieux placée selon moi pour m'aider à faire le point sur le sujet.

Le sentiment d'imposteur ça te parle? Tu le vis? Alors je t'invite à écouter cet épisode. J'espère qu'il te fera autant de bien à l'écouter qu'il m'en a fait à l'enregistrer.

Tu peux suivre Marie-Pierre sur sa page Facebook ou son compte LinkedIn. Si tu veux la contacter, je t'invite à visiter son site web.

Les services en orthophonie auprès de la population autochtone sont souvent limités ou peu adaptés. Je l'ai moi-même constaté lors de mes interventions ponctuelles auprès de jeunes autochtones. En fait, ça fait un moment que je m'intéresse au développement du langage chez les populations autochtones. Ou plutôt, je devrais dire que je me pose des questions.

La capsule scientifique de cet épisode se veut donc un résumé de la Revue canadienne d'orthophonie et d'audiologie qui a fait un dossier sur le sujet. Plusieurs éléments sont abordés notamment l'impact de la culture sur le style langagier et conversationnel, l'importance de bâtir une bonne alliance thérapeutique, le fait de modifier sa méthode d'intervention pour travailler davantage avec la communauté, etc.

Pour lire les articles en détails, voici le lien menant vers la revue qui est en accès libre :

https://cjslpa.ca/files/2011_CJSLPA_Vol_35/CJSLPA_2011_Vol_35_No_02_Summer.pdf

La supervision est un élément essentiel à notre cheminement pour devenir un orthophoniste ou n'importe quel autre professionnel. Cependant, plusieurs personnes hésitent à devenir superviseur, et ce, pour différentes raisons.

Ayant moi-même quelques supervisions à mon actif, je vois plusieurs avantages pour ma propre pratique à être superviseure. J'ai donc voulu en discuter davantage avec Anne-Marie Lanoue qui est orthophoniste et chargée de cours à l'Université Laval dans le programme d'orthophonie, mais surtout qui est responsable de la coordination des stages et elle-même superviseure d'expérience.

Nous avons démystifié ce qu'est la supervision, ce que ça implique, en quoi c'est pertinent, qui peut être superviseur, etc.

Si, après avoir écouté cet épisode tu as envie de proposer tes services en tant que superviseur en orthophonie, voici la liste des établissements où le programme d'orthophonie est offert au Québec (sauf Ottawa) :

Université Laval : https://www.supervision-readaptation.fmed.ulaval.ca/etre-superviseur/

Université du Québec à Trois-Rivières : https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/gscw031?owa_no_site=566

Université de Montréal : https://eoa.umontreal.ca/nous_joindre/

Université McGill : https://www.mcgill.ca/scsd/fr/stages-cliniques/pour-les-formateurs-cliniques

Université d'Ottawa : https://catalogue.uottawa.ca/fr/etudes-sup/maitrise-sciences-sante-orthophonie/

Quand je partage du contenu, c’est 100% inspiré de mon quotidien. Donc, si j’ai moins de rencontres clients, je risque d’avoir moins de réflexions par rapport à mes suivis. Et inversement, si je suis à fond dans tous les dessous de mon entreprise et les processus, alors je serai particulièrement inspirée par des réflexions en lien avec ce sujet.

De plus, cet été, j’ai lancé la troisième cohorte de Pratique Efficace donc je baignais pas mal dans la gestion et l’organisation.

J’ai parfois eu peur qu’on trouve ça plate que je parle principalement de ça. J’ai donc voulu faire cet épisode pour t’expliquer quelle est ma vision par rapport à l’efficacité dans sa pratique et pourquoi, à mon avis, c’est aussi important et pertinent de se former à ce sujet que de se former sur les pratiques d’intervention.

D'ailleurs, comme j'aime vraiment ça et que j'y crois vraiment, c'est la principale ligne directrice de mes réseaux sociaux. Je veux et je vais donc continuer à en parler alors aussi bien t'expliquer pourquoi 😉

Bonne écoute!

Avant la pause estivale, j'ai choisi de faire différent et de vous partager mes réflexions par rapport au podcast et à ce que j’ai appris à travers les épisodes diffusés depuis janvier. Et histoire d’être encore plus en mode estival, je ne m’étais préparé aucun script. Je m’excuse donc à l’avance pour les « euh » et les hésitations s’il y en a.

Je n’en dis pas vraiment plus, car il n’y a pas grand chose de plus à ajouter. L’essentiel de mes réflexions se trouve dans l’épisode.

Bonne écoute!

Ça faisait un moment que j’avais envie de vous parler d’un sujet qui m’anime particulièrement et j’ai nommé mes semaines stratégiques. C’est une habitude que j’ai commencé à prendre il y a de cela presque 3 ans sous les suggestions d’une coach d’affaires.

Une semaine stratégique, c’est une semaine où on ne fait pas de rencontres. Autrement dit, dans mon cas, je n’ai aucun suivi client durant cette semaine. À noter que ce n’est pas non plus une semaine de vacances. C’est une semaine de travail qui est dédiée à une thématique, à un gros projet qu’on veut avancer, à prendre le dessus sur le day-to-day quand on sait que ça roule plus. C’est pour ça qu’on la dit stratégique. Il faut savoir pourquoi on la planifie.

Alors si vous voulez en apprendre plus sur les semaines stratégiques et sur pourquoi je ne m’en passerais plus, je vous invite à écouter cet épisode.

Pour ce dernier entrevue avant la pause estivale, j’ai reçu Geneviève Rainville co-propriétaire de la clinique Jeunes Aventuriers.

Elle a lancé tout récemment une formation sur le dépistage des difficultés en mathématiques et le rôle de l’orthophoniste. Formation à laquelle je participerai d’ailleurs. Dans le cadre du lancement de cette formation, j’ai voulu la recevoir pour qu’on parle davantage du rôle de l’orthophoniste dans la sphère que sont les mathématiques, rôle qui est encore bien peu connu à mon avis.

Nous avons parlé du parcours de Geneviève qui l’a menée à s’intéresser aux mathématiques, de sa formation et de sa perception du rôle de l’orthophoniste dans l’intervention en mathématiques.

Cliquez ici pour en apprendre plus sur Geneviève ou sur les services offerts à sa clinique.

J’ai hésité à parler de TOM (troubles orofaciaux myofonctionnels) sur le podcast, car c’est plus niché comme sujet, mais comme c’est une grosse partie de ma pratique et que je m’informe beaucoup sur le sujet, il allait de soi que ce soit l’objet d’une capsule scientifique. 

J’ai tout de même voulu garder ça accessible en déboulonnant certains mythes. En fait, c’est plutôt Robert Mason qui les déboulonne et moi qui vous les partage. 

Je crois que les TOM sont une condition encore peu connue du grand public et peu savent que les orthophonistes peuvent intervenir à ce niveau. Ceci dit, ce ne sont pas toutes les orthophonistes qui le font. 

J’espère donc que cet épisode vous permettra d’en apprendre un peu plus sur les TOM si vous en connaissez peu sur le sujet ou de vous permettre d’approfondir vos connaissances si c’est quelque chose que vous connaissez déjà. 

Pour consulter l’article dont je parle, cliquer ici.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu avoir ma propre pratique. C’était clair pour moi qu’en sortant de l’université j’allais ouvrir ma propre clinique. Sauf que je ne savais pas que l’entrepreneuriat c’est tout un monde. Un monde que j’ai adoré découvrir. Je me suis toujours beaucoup identifiée à l’entrepreneuriat et je me suis souvent sentie comme un énergumène.

C’était donc un réel plaisir de découvrir que Lorianne, une collègue orthophoniste, avait découvert elle aussi sa fibre entrepreneuriale. Je l’ai reçue sur le podcast pour en apprendre plus sur sa vision de l’entrepreneuriat en tant qu’orthophoniste, sur sa pratique et ses projets, ses défis en tant qu’orthophoniste-entrepreneuse, etc.

Une conversation en toute simplicité super intéressante que je vous invite à écouter si vous sentez la flamme de l’entrepreneuriat en vous.

Pour suivre Lorianne, c’est sur son compte Instagram ou sur la page Facebook de sa clinique que ça se passe. Vous pouvez également en apprendre plus sur les différents services offerts en consultant son site web.